L'EMPLOI DE CODE SWITCHING DANS PURPLE HIBISCUS D'ADICHE CHIMAMANDA LES IMPLICATIONS POUR LA TRADUCTION
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Abstract
Le mot « code switching » est appelé « alternance codique » en français mais nous préférons garder le mot « code switching » dans cette communication car le mot est plus connu dans ce terme anglais que son équivalent français. Donc, pour garder le sens du mot et puis les notions qu’il recouvre, nous l’avons employé dans son nom anglais. L’emploi de « code switching » et « code mixing » (dans d’autres mots appelés l’alternance des codes et mélange des codes respectivement) sont quelques marques caractéristiques de la création littéraire africaine employé pour ses traits stylistiques de couleur locale, ces écrivains et dramaturges essaient à créer des oeuvres qui peuvent exprimer les réalités socio historiques africaine. Ayant le souci de mettre leurs oeuvres à la disposition des lecteurs au delà de leurs pays et cultures, littératures (langues et cultures). La plupart des temps, les écrivains africains, faute des autres alternatives, ont dû exprimer en langues coloniales, les réalités africaines dont le sens toutefois ne se laisse pas être totalement capter par des langues européennes. Dans cette étude, nous allons explorer et analyser l’emploi, les fonctions et la problématique de Code Switching par Adichie Dans Purple Hibiscus en relation avec la version traduite « L’Hibiscus Pourpre » pour estimer les implications dans la traduction.